Add to Cart Download

Onagawa - Espace semi-privatifs au centre de réfugiés Undôjô sôgô taikukan - Juin 2011

Onagawa - Espace semi-privatifs au centre de réfugiés Undôjô sôgô taikukan - Juin 2011
Aujourdhui, les besoins de chacun s'orientent vers un gain d'intimité et l'accession d'un environnement où ils pourraient trouver un peu de repos. Tous traversent une épreuve d'endurance, mais tous n'ont pas les mêmes forces pour la surmonter..Malgré la patience générale des sinistrés, l'attente est une épreuve supplémentaire car le dénouement de cette crise n'est toujours pas défini. Si les personnes souhaitent rapidement quitter les salles communes et gagner en autonomie dans les logements provisoires, elles ne savent ni quand ni comment elles seront logées dans de vraies habitations. Pour un retour à la normale, certains parlent de mois, d'autres dannées, certains toujours choqués ne peuvent se projeter. Une situation temporaire est ancrée, mais chacun espère que cette dernière ne se transformera pas en situation prolongée ou définitive.

Filename: ONAGAWA-Tsunami-desaster-Lebegue-Voile--2011.jpg
Copyright: © Sébastien Lebègue
Image Size: 2851x1900 / 2.2MB; 11 mars 2011 march 11th Fukushima Ishinomaki Japan Onagawa Tohoku Tsunami catastrophe desaster destroyed town destructuction documentary earthquake environnement japon nobody reconstruction refuged center refugies reportage ruines school social tremblement de terre water
Contained in galleries: ONAGAWA - Japan Tsunami

Onagawa - Espace semi-privatifs au centre de réfugiés Undôjô sôgô taikukan - Juin 2011<br />
Aujourdhui, les besoins de chacun s'orientent vers un gain d'intimité et l'accession d'un environnement où ils pourraient trouver un peu de repos. Tous traversent une épreuve d'endurance, mais tous n'ont pas les mêmes forces pour la surmonter..Malgré la patience générale des sinistrés, l'attente est une épreuve supplémentaire car le dénouement de cette crise n'est toujours pas défini. Si les personnes souhaitent rapidement quitter les salles communes et gagner en autonomie dans les logements provisoires, elles ne savent ni quand ni comment elles seront logées dans de vraies habitations. Pour un retour à la normale, certains parlent de mois, d'autres dannées, certains toujours choqués ne peuvent se projeter. Une situation temporaire est ancrée, mais chacun espère que cette dernière ne se transformera pas en situation prolongée ou définitive.